Le Prélat au Guatemala

Mgr Xavier Echevarria au Guatemala, premier pays de la visite pastorale qu’il effectue en ce moment en Amérique Centrale. L’Opus Dei est au Guatemala depuis1953.

Guatemala City. Dix mille personnes, au rendez-vous avec le Prélat de l’OpusDei au Stade Cementos Progreso, le dimanche 20 juillet 2014

Guatemala City. Dix mille personnes, au rendez-vous avec le Prélat de l’Opus Dei au Stade Cementos Progreso, le dimanche 20 juillet 2014.

Dans un climat très familial, le Prélat, a plaisanté: si les applaudissements se prolongeaient, ils prendraient sur le temps de la réunion qui n’en serait que plus courte. Il était très à l’aise avec ses enfants guatémaltèques et très reconnaissant pour les témoignages d’affection qu’ils lui prodiguaient.

Ana María, après avoir raconté la faveur qu’elle attribue à Álvaro del Portillo, lui posa la première question. Anita, sa fille aînée, qui souffrait d’une grave scoliose a subi une grosse intervention chirurgicale qui a été faite sur-le-champ alors que les listes d’attente étaient de plusieurs mois. Sa « récupération » fut tellement rapide que le médecin ne put que constater que « cette enfant avait quelqu’un qui l’aide au ciel car son rétablissement ne pouvait pas s’expliquer autrement ». Grâce à Dieu et à l’intervention de don Alvaro, Anita se porte à merveille et va assister à la béatification de don Alvaro,à Madrid, en septembre prochain. Mgr Echevarria rapporta plusieurs faits concernant la sainteté de don Alvaro et encouragea les assistants à solliciter son intercession.

Puis, ce fut le tour de François, papa de neuf enfants, qui a connu l’ Œuvre il n’y a pas très longtemps. Il tenait à ce que le Prélat lui parle de la joie des familles nombreuses, de leur influence dans la rechristianisation de la société. Le Père l’encouragea à être très reconnaissant envers Dieu qui, en lui accordant le privilège d’une aussi grande famille, lui permet de faire un grand apostolat de l’exemple et de la parole auprès de ses amis.

Ensuite, ce fut Dominga qui lui parla en cakchiquel, l’une des langues majoritaires au Guatemala. Son époux en fut le traducteur : elle voulait savoir comment aider ses filles dans leur vocation. Le Prélat lui dit que la tâche des parents n’était jamais finie, qu’ils devaient toujours prier pour la fidélité de leurs filles et être très reconnaissants à Dieu de les avoir choisies d’un amour de prédilection.

Il y eut encore deux questions de plus. Tous les assistants ont été profondément touchés et décidés à améliorer leur vie chrétienne. En dépit d’une saison pluvieuse, le climat de Guatemala fut clément, fidèle à son appellation contrôlée de « pays du printemps éternel ».